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schumi&cie

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3 juillet 2004

Tout d'abord, je crois qu'ils étaient surpri du

Tout d'abord, je crois qu'ils étaient surpri du recul pris face a la situation, je fut assez chouchouté et etrangement aprécier... c'est ce qu'on appel l'effet caliméro... Tandis que je me plaisais dans le monde des adultes, mes relations avec les autres élèves devenaient de plus en plus délicats et je redecouvrais avec douleur "la banlieue". Menaces, violences, drogues, triches et insultes étaient devenu mon lot quotidien. Meme pour arrivé au lycée il fallait traversé des quartiers pouris, le RER qui put et qui craint... Avant j'était plutot humour noir...là c'était du synisme... Je crois que je n'ai jamais regarder le monde avec autant de dégout et de froideur qu'à cette époque, je partais chaque matin avec la peur au ventre et une angoise qui ne me quittais pas... Un soir, apres une "agression" assez dur d'un de mes petits camarades, j'avait un hématome monstrueux sur le bras. Bien sur selon la terrible loi du silence je n'en avais pas parlé a la maison. Alerter par une forte odeur de pommade, ma mere me demanda ce qui m'etait arrivé.. en voyant mon bras elle me dit "comment ils ont fait ca ?", je repondi "avec leurs poing, avec leurs poings..." Aussitot catastrophe "je vais voir le proviseur", "il faut faire constater par un médecin", pour moi je venais de signer mon arret de mort, le silence était rompu, la terreur s'instala. Le lendemain le "ziva" de la classe entra en furie, jetta un regerd furieu dans la salle et dit "y'a une balance", j'étais mort. Je ne sais pas pourquoi, mais mon boureaux croyait que la balance.. c'etait mon pote...Alors je prenais mon courage à deux mains et j'allais lui parler....

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29 juin 2004

que la branche "professionnel" serait tout a fait

que la branche "professionnel" serait tout a fait adapter pour moi car de toute facon je n'aurais jamais mon bac. Et là, réunion au sommet autour de la table de la cuisine, entre quatre yeux avec mon pere que je craignai plus que tout, la question fatale fut posé : "Qu'est ce que tu veux faire? Réflechi bien, choisi un métier, t' as quatre heures...". Et ma vie fut celler...en une heure... De toute facon si je trouvai rien mon pere me trouvai une casse auto..le reve! Alors je me suis dit, la maçonnerie sa te flingue le dos, l'electricité c'est dangereux, il ne restait que la plomberie. Mon choix était fait. Cette selection plaisai bien a mon entourage, plombier c'est un bon metier...A partir de mon choix, la course au "LEP" etait lancé. Le premier que j'ai visité était a Montrouge, une commune pres de chez moi, et là , le choc, retour en banlieue, pas qustion d'aller là bas. Le second et dernier fut le lycée Gustave Eiffel de Massy, mon pere m'assura que si il avait eu ça dans sa jeunesse il aurait été super content. Le jour de la visite était une journée porte ouverte. Calme, propreté et élève studieux étaient au rendez vous. Je fut inscris, et quelques semaines après, admi. A la fin de mon année de troisieme je passa mon brevet des collège sans aucun stress et sans espoirs, et quand je vi mon nom sur le tableau des recu, je fu le premier étonner. Quand je suis rentrer chez moi mes parents mon dit "alors tu l'as pas eu...", je repondi que si. C'était vraiment décevant, on m'avait engueulé pendant des années parce que je n'avait pas de bon résultat et le jour ou j'ai mon premier diplome...rien. Ce fut le premier été où je n'eu pas de travail de vacance, les petits livres de révision a la con qu'il faut se farcir tous les matins, la liberation...

La rentree scolaire arriva et pour une fois les fourniture ne furent pas les regles, plumes et papiers " 452 gramme sur 42.6 x 27.5 ", mais un bleu, des chaussures de securité, des outils divers et variers, on entrai dors et déjà dans le vif du sujet. Scolairement parlant sa partait plutot bien, c'était pour la premiere fois des relations d'adultes à adultes, une vrai révolution. Le gros problème, c'etait les autres. Des jeunes paumés des quartiers pourris, des gens sans avenir, des cancres, bref la crême des bas fonds de la société, avec la violence et la misère qui va avec... Alors tres rapidement je me fit une quantité d'ennemis et de boureaux potentiels, la peur au ventre s'installa et ne me quitta pus. A la fin du mois de septembre, un samedi ou j'etais rester avec ma soeur a l'appartement et ou mes parents étaient en week end dans notre maison de campagne, un coup de téléphone d'échira la nuit, mon père était mort, une mort subite et foudroyante. Des trois semaines qui suivirent, je ne me souviens de pas grand chose, des instants où j'ai craqué, des espoirs et des doutes, la chose sure c'est que le lundi suivant j'étais déjà au lycée, la vie continuais et mon cauchemard aussi. Mes parent n'avais jamais rien obptenu comme aide, ni bourse, ni réduction, ils avaient toujours tout payer au prix fort. Ce fameux lundi je me présenta au bureau et je lui annonçais froidement que j'était désormais orphelin, que j'avais besoin d'aide, et vite. Et je fut aider. Direction l'assistante social, un autre monde...

27 juin 2004

premier pas dans le monde du web.

Du stylo au papillon.

 

Depuis l'age de 11 ans j'avais quitter le monde bruillant et malsain de la cours de récrétion d'une petite école primaire de banlieue, pour le cadre verdoillant d'un colège haut de gamme avec son parc, son stade, sa renommer, et ses étudiants habituels. Plus habitué aux enfants d'ouvriers qu'au futurs héritiers, la douche fut froide, mais pas saisissante... Malgré certaines remarques de professeurs indélicat sur mes origines sociales, les 5 années que je passai la bas ne furent pas trop catastrofique. Presque la routine, entre la crise d'adolescence et la fameuse "surcharge pondérale", je me suis laissé vivre allegrement au grand désespoire de mes parents qui se demandait ce qu'ils pouraient bien faire de moi...  J'étais un ado au comble de la non violence, un peu en marge, rarement tout seul, "le bon copain" pour les copines, bref... un puceau en pleine expension... A force de rien faire, les résultats des conseils de classe ne laissairent rien présagé d'extraordinaire sur ma carrière scolaire. A la fin de ma 3ème, il fut désidé..   

 

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